23 November 2007

The movie I last saw

When my friend Jon first thought about starting a blog, he envisioned a kind of screening log. Jon wrote, "I would chronicle the movies I saw, and through that include little anecdotes about my life as it happens…I still want to include this feature, which will provide a brief musing on films (current and otherwise) as I see them." Here is the movie he last saw.

Recently, I was reading a France-Amérique article about the film Les égarés (Strayed) for French class, and I stupidly realized that the film is real, a film I can watch. Netflix has it, as well the other French film that I searched for (Le goût des autres).

Strayed (2003), directed by André Téchiné, is based on Gilles Perrault's novel The Boy with Grey Eyes. The film stars a Emmanuelle Béart (8 Women, Manon of the Spring) and Gaspard Ulliel (Paris, I Love You, A Very Long Engagement). The film is set in 1940 France during the German invasion. On the road after fleeing Paris, a recently widowed schoolteacher (Béart) and her two young children meet 17-year-old Yvan (Ulliel), who helps them find an abandoned house to live in. At first Odile is wary of Yvan—the children like him—but she soon realizes that it is with his help that her small family is able to survive. Apart from grainy black-and-white clips of the war, the film is believable—one thing I always ask myself. The supporting actors seem, at times, like they're just in costume. But Béart, who looks a little like Fiona Apple, is stunning. And Ulliel, who looks a little like Ashton Kutcher, Andy Samberg, and a certain bartender at Sweet Paradise, does "reckless" well. And there is chemistry. When Yvan says the cigarette in his mouth is his last and suggests he and Odile share it, you want her to say yes. When Yvan suggests that they drink wine, you want Odile to say yes. In one scene, Yvan has just come back to the house with three fish that he caught, and there is an exchange between him and Odile in the kitchen.


YVAN: Apart from the fact I can help with food…does anything else about me interest you?

ODILE: Yes, your personality. It unsettles us a little, but we all need to be disturbed.

YVAN: Even you?

ODILE: Yes, even me. Got a cigarette?


Rated NR. 93 minutes.

19 November 2007

Eating

Voltaire said, "Nothing would be more tiresome than eating and drinking if God had not made them a pleasure as well as a necessity." And if we truly are what we eat, then I would be miso soup-PBR-Trader Joe's wine-clam chowder-lobster roll-potato chips-slab of ribs-fresh coconut juice.

La dissertation : Rio de Janeiro

À distance, il semble être une croix au sommet de la montagne. Âgé de soixante-dix ans, il est un des sept nouveaux émerveillements du monde. Fait de béton armé et de stéatite, il mesure 39,6 mètres et pèse 700 tonnes. Il a été créé par un groupe d’ingénieurs et de techniciens. Il est posé là comme s’il flottait dans le ciel, avec des bras ouverts et un air grave et paisible. Certains jours, il disparaît dans le brouillard. Les nuits claires, il rayonne dans le ciel noir avec les étoiles. Il jouit d’une grande notoriété que l’on peut observer toute l’année par le nombre de touristes qui vient de partout pour le photographier. C’est Jésus Christ le rédempteur, qui se dresse à la cime de la montagne Corcovada dans la forêt de Tijuca parc national. 700 mètres de haut, il garde la ville de Rio de Janeiro et ses « cariocas » (les habitants de Rio) jour et nuit, qu’il pleuve ou qu’il vente.

On dirait qu’il fait presque toujours beau dans cette ville. Les plages sont toujours couvertes de monde en grande partie bronzé. La plage d’Ipanema est une des plus belles plages dans le monde. Deux montagnes appelées « Deux frères » s’élèvent au bout ouest de la plage, qui est divisée par des postes. Les belles jeunes vont au poste numéro 9 comme des fourmis. Assis sur des transats et les draps loués sous les parasols, les filles et les gars se regardent derrière leurs lunettes de soleil. Tout l’après midi, ils se détendent près de l’eau, peut-être avec une bière et une cigarette. Les vendeurs marchent dans le sable, dans le labyrinthe de gens qui prennent un bain de soleil, vendant toutes sortes de boissons froides. Ils vendent aussi, de temps en temps, des strings et des vêtements avec des motifs comme le drapeau vert avec le diamant jaune. Les Brésiliens sont célèbres pour s’habiller avec des maillots de bains frugaux, surtout des strings. Sur la plage, ils jouent au foot, au volley, et « footvolley », qui est, bien sûr, une fusion de foot et de volley. Dans le quadrillage de rues, on peut voir des gens habillés avec une multitude de couleurs, qui contraste avec leur belle peau brune.

Ipanema est sans aucun doute un agréable lieu de séjour. C’est aussi un quartier très riche. Les rues sont bordées d’appartements et de meilleurs restaurants, et de cafés avec des terrasses, où les clients peuvent avoir un express ou une bière, tout en regardant les passants, presque tous aux tongs aux couleurs vives appelées « Havaianas ». Ces sandales viennent du Brésil et sont vendues partout. Si les filles ne portent pas de tongs, elle portent des semelles compensées. Ce n’est pas anormal de voir des gens qui regardent un match à la télé dans un bar. Si l’équipe brésilien ne gagne pas le match, la bière coule. Si l’équipe brésilienne ne le gagne pas, la bière coule quand même. Ils aiment le foot. En fait, le stade Maracanã était le stade avec la plus grande capacité dans le monde—180,000 personnes—jusqu’en 1950 pour la coupe du monde. Rio accueillera une deuxième fois la coupe du monde de football en 2014.

Copacabana, qui est adjacent à Ipanema, offre 4 kilomètres de plage. On peut marcher à Copacabana en quinze minutes. Elle s’étire du poste numéro 2 au poste numéro 6. Des deux plages, Copacabana est plus commerciale et moins chère. Une rangée de 63 grands hôtels fait face la plage. Outre les restaurants, il y a des bars, des boîtes de nuit, et des bâtiments résidentiels. Les trottoirs se caractérisent par les motifs de vagues composées du pavé portugais aux tuiles noires et blanches. Ils ont été conçus par l’architecte paysagiste brésilien, Burle Marx.

La beauté de cette ville inspire les artistes. Par exemple, le célèbre architecte Oscar Niemeyer et l’architecte paysagiste Burle Marx font plusieurs projets à Rio. Même la maison de Niemeyer, appelée « Maison de Canoas », est située dans les montagnes qui dominent la ville. On doit conduire longtemps dans la rue qui serpente dans la montagne pour arriver au site caché de chef-d’œuvre domestique de Niemeyer, construit entre 1952 à 1953. La maison, qui est un bon exemple d’architecture moderne brésilienne, est enfoncée dans la forêt sans perturber la nature. La maison et sa piscine sont construites autour d’une grande pierre. Pas dissemblable à la statue de Christ le rédempteur, la toiture de la maison flotte, comme une dalle blanche dans les arbres verts de la forêt de Tijuca. Quelquefois, de la terrasse derrière la maison, les cariocas voient des familles de singes qui se balancent d’une branche à l’autre.

Il y a tellement beaucoup d’espèces de la faune et de la flore. La beauté de la forêt de Tijuca est incomparable. Et c’est difficile de voir que cette forêt tropicale a été créée par la main. Elle semble très naturelle. La plus grande forêt urbaine, la forêt de Tijuca couvre près de 32 kilomètres carrés. De la montagne, on peut voir une vue extraordinaire, même avec le brouillard. Bien sûr, il y a beaucoup de chemins des amoureux pour les amants jeunes et vifs. D’un des chemins des amoureux, on peut avoir une vue époustouflante. On peut voir la ville entière—les plages, des municipalités avec leurs bâtiments, et le lac « Rodrigo de Freitas » au milieu de la ville. On peut voir aussi les favelas au bord de la ville. Elles semblent belles de la montagne, mais la vérité montre qu’elles sont harcelées par les problèmes d’eaux usées, de crimes, et d’hygiène. Il y a un grand contraste entre la beauté des municipalités comme Ipanema et les favelas qu’on peut voir franchement clairement à la droite. En 1961, la forêt a été déclarée parc national.

Malheureusement, tout n’est pas toujours rose à Rio de Janeiro. À la fin de février 2003, juste avant le célèbre carnaval annuel qui dure quatre jours, les rues tranquilles ont été perturbées par des vagues de coups de feu. Dans la presse, il y avait beaucoup d’articles sur la violence. Un article de CNN.com, datée du 28 février, a dit que les gangs de drogue ont mis des bus en feu. Ils ont attaqué des postes de police, des supermarchés et des bâtiments d’appartement avec des bombes faites maison. La violence a tué au moins 11 personnes. Selon les nouvelles de BBC.com, un automobiliste est mort après un des gangs a tiré sur lui. Le ministre de la justice, Marcio Tomaz Bastos, a dit que 36,000 polices fédérales étaient dans les rues. Les habitants qui aimaient le carnaval craignaient d’être en danger. Plus tard, la première semaine de mars, la presse a annoncé que la ville a célébré le carnaval malgré la violence. « Oubliez la violence, c’est le temps de faire la fête ! » Il y avait 400,000 visiteurs venus de l’extérieur pour le carnaval. « Nous sommes un peu concernés, » a dit John Yun de New York. « Nous avons entendu parler de la violence avant d’aller ici…mais tout semble calme. » Les cariocas essayaient d’oublier les événements de la semaine passée. Le carnaval a continué, et le carnaval continuera, parce que l’esprit des Brésiliens est fort.

Sunday Bloody Sunday

This is what happened. It was a damp Sunday night—it had rained all day—and my roommate and I were on our way to the the studio to get some books and my printer and then to La Tapatia to pick up our dinner. Stopped at a red light, I noticed a note had been tucked under my windshield wipers. Books and printer in tow, I walked toward my car and noticed something was amiss—there was a dent on the left side of my car. I remembered the note, removed it from under the wiper. The small lined paper read, I'm sorry I've hit your door Please call… I called the person today, and apparently he even took photos of my car. If there were such a thing as a good hit-and-run, I guess this would be it.

12 November 2007

The day is beautiful and so are you

Happy birthday, Jon. Can't wait to be 24 and in New York with you.

08 November 2007

Map of Rio de Janeiro from Brazil Builds.


02 November 2007

Yum!

Since the stomach bug that knocked me out for most of the week, I've been loosely adhering to the temporary change in diet recommended by my doctor—lots of liquids, soft foods, no dairy, no meat. In my search for the perfect non-dairy, vegetarian soft food, I found a few at the Whole Foods on Kirby. See if they have these at your local Whole Foods.

Not much of a Prepared Foods kind of person, I nonetheless scanned the ridiculous heaps of food (where does it all go??) to see if there was anything for me. First, the Wild Mushroom Orzo ($6.99/lb). I don't know if it was meant to be eaten cold, and I think maybe so, but I warmed it up in the microwave, and it was pretty good. I followed the orzo with the Emerald Sesame Kale ($6.99/lb), which I picked out in part because it's just so beautiful! The fresh ginger was a little intense but, in general, the Kale may have turned me on to a new vegetable, thank god! I was getting pretty sick of broccoli. I bet Angelica Kitchen in the East Village has some goood kale…

And last but not least, ZenSoy vanilla pudding in the refrigerated section. It's really good.